Le troisième concours de nouvelles organisé par la ville de Mennecy dans le cadre du Salon du livre et de la BD d’Ile de France est lancé!
Ouvert aux auteurs domiciliés en Ile de France, il sera limité aux 120 premières nouvelles reçues d’ici au 30 septembre prochain.
A l’issue de ce concours, un jury de 5 lecteurs, présidé par Henri Girard, décernera le « Prix Jean-Jacques Robert de la Nouvelle », ainsi dénommé en hommage à un ancien maire de Mennecy qui a marqué la ville de son empreinte.
Règlement du concours : Les « tapuscrits », devront être rédigés sous Word, et envoyés à l’adresse : presse@salondulivreidf.fr .
Ils devront répondre aux prescriptions suivantes :

6 pages maximum, écrites en français
Caractère : type time new roman, corps 12
Double interligne
Pas de thème imposé
La nouvelle ne devra pas avoir été éditée auparavant (ni à compte d’auteur, ni à compte d’éditeur)
Une seule nouvelle par candidat.
Chaque participant devra communiquer ses noms, prénoms, adresses postales et mail, et un numéro de téléphone.

Les résultats seront proclamés courant décembre et les lauréats recevront leurs prix lors de l’inauguration du septième Salon du livre et de la BD d’Ile de France, le samedi 4 février 2017.
Des bons d’achat récompenseront les cinq meilleures nouvelles (100€, 80€, 60€, 40€ et 20€)
Ces nouvelles « primées » ainsi que 10 autres nouvelles « choisies » par les jurés, feront l’objet d’un recueil édité par la ville de Mennecy et seront présentées à l’occasion du prochain Salon.
Alors toutes et tous à vos plumes et bonne chance!
Quelques conseils pour les « débutants :

Soyez clairs, précis, intéressants et si possible originaux, travaillez le fond et la forme

Écrire une nouvelle est une affaire sérieuse ; on ne part pas « bille en tête », on réfléchit, on se pose les questions : « D’où partons-nous, où allons-nous, par où passerons-nous. » Vos lecteurs sont prêts à vous emboîter le pas, mais si vous divaguez, ils vous quitteront… le jury aussi ! Et si la chute n’est pas réussie…

Lorsque vous rédigez, évitez les tournures vagues et imprécises, les termes passe-partout : faire, avoir, mettre, rester, homme, chose, etc., qui sont à l’écriture comme les couleurs délavées et grises à la peinture. La moitié du temps de rédaction doit être consacrée à la recherche du mot « juste », celui qui permet une expression exacte de la pensée.

La longueur elle-même de la phrase doit être adaptée au sujet traité ; si vous relatez une action ou une succession d’actions, usez de phrases courtes, lapidaires. Mais si vous voulez exprimer une pensée ou décrire un décor, préférez des phrases plus longues. Évitez cependant, en pareil cas, les lourdeurs de style, consécutives à l’accumulation de propositions subordonnées, grandes consommatrices de verbes et de leurs satellites, souvent pesants : pronoms et conjonctions de toute nature, adverbes en « ment ».

Votre rédaction terminée, relisez votre texte plusieurs fois. Ponctuez avec soin. Ajoutez peu, ôtez beaucoup. Vérifiez la qualité de votre syntaxe. Faites la chasse aux fautes d’orthographe.

De l’importance de la « chute »
On ne s’attend pas à une « chute » : elle surprend, par définition. Et l’on tire son chapeau à l’auteur d’avoir si bien su nous étonner en poussant simplement à son terme la logique de son histoire.